arrow up

Hausse des faillites d’entreprises à la rentrée… ce n’est pas une fatalité ! Comment s’en prémunir ?


Le Figaro Économie publiait fin août 2022, un article au titre alarmiste : “Le spectre d’une cascade de faillites ressurgit” ! S’appuyant sur un bilan à mi-étape de l’association GSC, le quotidien dressait un tableau sombre de la situation économique au sortir de la pause estivale affirmant que “plus de 18 500 chefs d’entreprise ont mis la clé sous la porte depuis le début de l’année”, soit une augmentation de près de 30 % par rapport à la même période en 2021…

D’autres titres avaient eux aussi tiré la sonnette d’alarme, La Tribune, Capital ou France Info durant l’été… de même, le Cabinet d’étude Altares annonçait dans un rapport publié en juillet, “plus de 9 800 défaillances au 2e trimestre 2022″ ! Ceci, alors qu’en mai dernier la Banque de France publiait un rapport sur ce même sujet stipulant alors : “le nombre de défaillances d’entreprises reste à un niveau faible, proche de 31 000 sur les 12 derniers mois”.

Clairement, le phénomène des défaillances en cascade s’est emballé durant l’été, sur fond de tensions économiques (inflation) et internationales (guerre en Ukraine) pesant de plus en plus sur le climat des affaires… Faisant suite au long épisode COVID ayant durablement affecté l’économie et changé les habitudes des consommateurs notamment, la rentrée de septembre se présentait donc sous un jour quelque peu maussade pour un certain nombre d’acteurs économiques.

Un climat d’incertitude qui doit inciter à la vigilance

Évoquant le contexte actuel tendu, le journaliste évoque le fait que “face à la diminution de leur pouvoir d’achat, les Français ont limité ou renoncé à certaines dépenses”, parlant ainsi de “recettes irrécupérables” ! Dans ces conditions, l’article cite Thomas Denfer, président du CNGTC, lequel déclare que “le risque, c’est que des entreprises saines qui ont des relations contractuelles avec des structures en difficulté soient emportées et tombent à leur tour”…

En effet, selon le Conseil National des Greffiers des Tribunaux de Commerce, la France “totalise 183 530 radiations d’entreprise de janvier à fin juin (+ 35 % par rapport au premier semestre 2021), dénombre par ailleurs 17 932 entreprises en difficulté sur la même période (+ 45 %).” Tandis que sur le front des liquidations judiciaires, elles ont “explosé de 40 % et les redressements de 69 % en un an.” On assiste donc bien à un phénomène de “radiations d’entreprises en cascade“.

D’ailleurs, au sujet de la vigilance nécessaire, Le Figaro donne la parole à Anthony Streicher, président de l’association GSC, qui affirme : “sans anticipation, les situations dramatiques se multiplient”. En ce sens, l’article met le doigt sur une donnée essentielle pour lutter contre la spirale infernale de défaillances avec effet “Boule de neige” : l’importance primordiale pour chaque entreprise de préserver sa trésorerie pour assurer sa survie dans une phase de difficultés économiques.

Se prémunir, c’est se préserver face aux dangers

L’article se conclut sur une mise en garde, on ne peut plus claire : “le risque, c’est aujourd’hui celui des faillites en cascades.” Pour autant, peut-on considérer cet état de fait comme une fatalité ? Bien sûr que non, il existe des parades et mieux une entreprise est armée, mieux elle peut affronter les difficultés. Et ceci, quelle que soit sa taille, TPE/PME ou ETI… même si on peut considérer que plus les structures sont de taille réduite, davantage elles sont exposées aux aléas économiques.

La meilleure garantie pour une entreprise de ne pas mettre en jeu son existence, et même de s’assurer les moyens de son développement, est encore de se faire payer plus facilement et plus rapidement. Comment ? En s’équipant d’une solution de suivi et recouvrement de créances fiable et rentable comme Clearnox ! L’équation est simple : plus l’entreprise récupère  son cash  et plus elle maintient son BFR et protège sa trésorerie. Et plus elle peut compter sur ses propres forces (revenus provenant de ses clients), mieux elle est à même de faire face à des vents contraires.

Clearnox, la solution qui aide les entreprises à se protéger

Aujourd’hui Clearnox offre à ses entreprises utilisatrices un vrai confort quotidien basé sur une promesse de marque forte et approuvée par les faits : “Facturer, c’est bien. Encaisser, c’est mieux !”

Et, au-delà d’un objectif de gain de trésorerie pour assurer la gestion quotidienne des entreprises, Clearnox permet de :

  • Gagner en visibilité sur l’encours clients,
  • Digitaliser le process métier,
  • Professionnaliser le suivi et la relance des factures,
  • Améliorer la productivité des équipes,
  • Et, ainsi, être serein dans la gestion quotidienne de l’entreprise.

Collaborative, intuitive et facile à utiliser, la solution Clearnox apparaît donc comme la réponse idéale dans la situation actuelle comme le démontre cette série de vidéos.

▶︎ Retrouvez en intégralité l’article, signé Corinne Caillaud, paru dans “Le Figaro” : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/le-spectre-d-une-cascade-de-faillites-ressurgit-20220829

À propos de Clearnox

Clearnox, leader dans le suivi, la relance et le paiement de factures, permet aux entreprises d’être payées plus facilement et plus rapidement. Grâce à une solution innovante en ligne et une méthodologie éprouvée, Clearnox apporte une réponse aux problèmes majeurs des entreprises : la sécurisation d’un niveau suffisant de trésorerie et la maîtrise des délais de règlement. Clearnox est un service cloud d’Isabel Group, principale fintech de Belgique qui propose ses solutions à 90 000 entreprises, 3 600 cabinets d’expertise comptable, 250 partenaires logiciels et 650 banques en automatisant 450 millions de transactions par an, soit 7,10 milliards d’euros par jour.
www.clearnox.com 

Facturer c’est bien, encaisser c’est mieux ! 
Demandez une web démo

contact@clearnox.com
Tel. : +33 2 47 60 65 96


prev Précédent article

Clearnox confirme son engagement auprès des Experts-comptables en participant à leur 77e Congrès

Prochain article next

77e Congrès des Experts-Comptables : Clearnox et les experts-comptables